Droit de réponse de Thierry Lounas (Capricci)
Thierry Lounas, directeur de la société Capricci, demande en application de l'article 13 de la loi de 1881, « compte tenu des inexactitudes et des insinuations calomnieuses du texte de Jean-Marc Adolphe intitulé "CND : un naufrage à 10 millions d’euros" », d’insérer le droit de réponse suivant. Il indique par ailleurs « transmettre le texte et tout élément concernant la société Capricci et les Editions nantaises (société éditrice de SO FILM) à [leur] avocat. Nous nous réservons la possibilité d’engager contre la revue et l’auteur du texte les poursuites que nous jugerons appropriées. »
A l’article détestable et sans scrupule que vous avez publié le 6 novembre au sujet du CND, j’aimerais apporter une réponse dans la mesure où ma société, mes collaborateurs, mes proches et moi-même sommes concernés. (...)
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