
"On ne jouait pas à la pétanque dans le ghetto de Varsovie", Eric Feldman © Patrick Zachmann
Festival d'Anjou
Le spectacle devait d’abord s’appeler « Freud et Hitler sont sur un bateau » mais apparemment c’était un peu too much. Si le titre a changé, l’humour dont s’arme Éric Feldman dans ce seul-en-scène est, quant à lui, bien intact. Il faut au moins cela pour faire face aux traumatismes de la Shoah. Un autre comédien choisit le rire face aux drames. Avec 66 jours, Théo Askolovitch se livre sur son combat contre un cancer des testicules dans un seul-en scène. En Anjou, il n’y a pas meilleure arme que le rire. (AB)
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