
Romancero queer
Écrivaine antisystème devenue icône, Virginie Despentes a pris ses distances avec la précarité depuis le succès de sa trilogie littéraire Vernon Subutex. Elle l’admet volontiers : elle ne sait plus trop si elle est légitime à écrire sur la violence sociale. Serait-ce pour cela qu’elle s’intéresse au théâtre ? Pour servir de porte-voix à plus précaire qu’elle et subvertir cet art bourgeois ? Avec romancero queer, elle met en scène sa deuxième pièce en deux ans. L’embargo tient toujours, mais sans surprise : le casting sera explosif et féminin.
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